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  1. Et des mers sans fin remuées, S’envoler sous le bec du vautour aquilon, Toute la toison des nuées ; J’entends le vent dans l’air, la mer sur le récif, L’homme liant la gerbe mûre ; J’écoute, et je confronte en mon esprit pensif Ce qui parle à ce qui murmure ; Et je reste parfois couché sans me lever Sur l’herbe rare de la dune.

  2. Et je reste parfois couché sans me lever. Sur l'herbe rare de la dune, Jusqu'à l'heure où l'on voit apparaître et rêver. Les yeux sinistres de la lune. Elle monte, elle jette un long rayon dormant. À l'espace, au mystère, au gouffre ; Et nous nous regardons tous les deux fixement, Elle qui brille et moi qui souffre.

  3. Et je reste parfois couché sans me lever. Sur l’herbe rare de la dune, Jusqu’à l’heure où l’on voit apparaître et rêver. Les yeux sinistres de la lune. Elle monte, elle jette un long rayon dormant. À l’espace, au mystère, au gouffre ; Et nous nous regardons tous les deux fixement, Elle qui brille et moi qui souffre.

    • Alessandro De Francesco
    • 2021
  4. Claire P. . collectionParoles sur la duneVictor HugoNelson1911ParisTParoles sur la duneHugo - Les Contemplations, Nelson, 1856.djvuHugo - Les Contemplations, Nelson, 1856.djvu/9302-303 . XIII. PAROLES SUR LA DUNE. Maintenantque mon temps décroît comme un flambeau, Que mes tâches sont terminées. Maintenant que voici que je touche au ...

  5. Et je reste parfois couché sans me lever. Sur l’herbe rare de la dune, Jusqu’à l’heure où l’on voit apparaître et rêver. Les yeux sinistres de la lune. Elle monte, elle jette un long rayon dormant. A l’espace, au mystère, au gouffre ; Et nous nous regardons tous les deux fixement, Elle qui brille et moi qui souffre.

  6. Jul 25, 2024 · Paroles sur la Dune par Aurore Barette, Maxime Aumont et Dorian Agudo Introduction Introduction Anniversaire de l'arrivée de Victor Hugo à Jersey Structure de l'oeuvre : - 13 strophes de 4 vers - Alternance entre alexandrins et octosyllabes - Rimes croisées Plan Quel rapport a Hugo

  7. Jadis portait toujours douze plumes en rond, Et sans cesse sautait sur la double raquette Qu'on nomme prosodie et qu'on nomme étiquette, Rompt désormais la règle et trompe le ciseau, Et s'échappe, volant qui se change en oiseau, De la cage césure, et fuit vers la ravine, Et vole dans les cieux, alouette divine.